Suite à leur recherche sur le ronronnement du chat, Aylin et Antoine n’ont pas réussi à démontrer ce qu’ils recherchaient au sujet de la zoothérapie. Cependant, les données recueillies leur ont permis de soupçonner que l’effet d’anticipation d’être ultérieurement mis en présence d’un chat a un effet significatif sur le pouls, et ce, hors de tout doute. Ceci n’est pas rien!
Nous sommes très fiers d’eux !