Une grande nouvelle!

Financement accordé

La fondation Opération Enfant soleil a remis à la fondation de l’école Jacques-Ouellette la merveilleuse somme de 16 528.00$ pour la réalisation d’un centre multimédia. La mise en place de cette unité mobile permettra d’offrir aux élèves un environnement pédagogique à la fine pointe de la technologie. Merci infiniment pour cette grande générosité.

Table de concertation jeunesse en déficience visuelle

Bénéficiant d’une grande notoriété dans la communauté des personnes présentant une déficience visuelle, l’école Jacques-Ouellette a réussi à mobiliser plusieurs organismes du milieu pour créer, en 2004, la Table de concertation jeunesse en déficience visuelle.

Organismes membres

  • Association des sports pour aveugles de Montréal (ASAM)
  • Association montréalaise pour les aveugles (MAB)
  • Association québécoise des parents d’enfants handicapés visuels (AQPEHV)
  • Association québécoise interuniversitaire des conseillers en besoins spéciaux
  • Association sportive des aveugles du Québec (ASAQ)
  • Comité d’adaptation de la main-d’œuvre (CAMO) pour personnes handicapées
  • Commission scolaire de Montréal (CSDM)
  • Commission scolaire des Premières-Seigneuries
  • Commission scolaire English-Montréal
  • École Jacques-Ouellette – centre suprarégional en déficience visuelle
  • Fondation MIRA
  • Horizon travail (Service externe de main-d’œuvre [SEMO] de Montréal)
  • Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQ)
  • Institut national canadien pour les aveugles (INCA)
  • Institut Nazareth et Louis-Braille (INLB)
  • Regroupement des aveugles et amblyopes du Québec (RAAQ)
  • Service de développement d’employabilité de la Montérégie (SDEM)

Pour connaître davantage la mission et les travaux de la Table de concertation jeunesse en déficience visuelle, nous vous invitons à visiter le site Internet :
www.tcjdv.qc.ca

L’élève handicapé par une déficience visuelle

L’école Jacques-Ouellette offre des services spécialisés aux élèves « handicapés par une déficience visuelle » selon les normes établies par le MELS (code de difficulté 42).

Pour déclarer un élève « handicapé par une déficience visuelle », les trois conditions suivantes sont essentielles :

  1. D’abord, une évaluation diagnostique doit avoir été réalisée par un médecin ophtalmologiste ou par un optométriste. Elle doit révéler, pour chaque œil, une acuité visuelle d’au plus 6/21 ou un champ de vision inférieur à 60 dans les méridiens 90 et 180, et ce, en dépit d’une correction au moyen de lentilles ophtalmiques appropriées, à l’exclusion de systèmes spéciaux et des additions supérieures à +4,00 dioptries.
  2. Ensuite, des incapacités et des limitations doivent découler de sa déficience visuelle et se manifester sur le plan scolaire. Elles s’observent sur les plans de la communication et de la locomotion, ainsi que dans la participation aux activités de la vie quotidienne. Ces incapacités et ses limitations restreignent ou empêchent les apprentissages de l’élève au regard du Programme de formation de l’école québécoise ainsi que le développement de son autonomie et de sa socialisation.
  3. Enfin, des mesures d’appui doivent être mises en place pour réduire les inconvénients dus à la déficience visuelle de l’élève, c’est-à-dire pour lui permettre d’évoluer dans le milieu scolaire malgré ses incapacités ou ses limitations. Ces mesures d’appui doivent se traduire par le recours à des moyens adaptés en fonction des besoins et des limitations de l’élève, et déterminés dans la démarche du plan d’intervention, que ce soit par l’enseignement, des programmes, du matériel ou de l’aide technique. De plus, des services supplémentaires doivent être dispensés. À l’élève « handicapé par une déficience visuelle », ces services supplémentaires sont donnés de façon régulière, en fonction de ses besoins.

Extrait de « L’organisation des services éducatifs aux élèves à risque et aux élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage (EHDAA) », Gouvernement du Québec, ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, 2006 (pp. 11 et 19).